Le Groupe Finance a le plaisir de vous inviter à son prochain petit-déjeuner avec
Patrick Werner
Président d'ARUM gestion privée et d'ARUM International
Sur le thème :
" Nouvelle fiscalité, évolutions réglementaires, taux bas : faut-il parler de révolution dans la gestion des patrimoines ? "
Jeudi 15 février 2018 à 8h00
France Amériques, Salon Franklin
9 avenue Franklin D. Roosevelt, 75008 Paris
Avant de créer en 2014 et d'animer la Société familiale de gestion patrimoniale "ARUM Gestion Privée", dont il est Président et sa fille Directrice générale, Patrick Werner , né en 1950, a d'abord beaucoup "tourné" : après Sciences Po (SP 1971), l'ENA et l'Inspection des Finances, il a passé plusieurs années à la Caisse des dépôts, puis dix ans dans l'assurance (DG du groupe Victoire, puis délégué général de la fédération des Sociétés d'assurance), suivies de dix ans dans la banque de détail.
C'est sans doute comme créateur et président de la Banque postale qu'il a le plus imprimé sa marque et manifesté une créativité qui lui a été largement reconnue. De cette expérience multiple et diversifiée, il a tiré la conclusion qu'entre les grands réseaux semi-publics et les banques privées, il existait un "créneau" pour une entreprise de conseil patrimonial fondée sur la stabilité, sur la disponibilité à l'écoute du client, et sur une compétence élargie de la finance proprement dite au Droit et à la fiscalité.
C'est ce créneau qu'il a investi. Dans le contexte de profonds changements d'environnement fiscal, réglementaire et financier qui est actuellement le nôtre, Patrick Werner s'est engagé, sinon bien sûr à nous confier de vrais secrets, du moins à nous livrer quelques aspects utiles de son expérience.
Bien à vous,
Michel Euvrard
Président d'honneur de l'Association
Président de son "groupe finance"
Tarifs : Adhérent : 40€/petit-déjeuner - Non-adhérent et "extérieur" : 50€/petit-déjeuner
Renseignements : evenements@sciencespo-alumni.fr
Toutes ces réunions sont aussi informelles et détendues que possible et à cet effet, nous faisons tout notre possible pour que le caractère « en off » soit respecté.